Le nez dans l’herbe, parfois allongée de tout mon long, j’aime prendre des photos au ras du sol. Pas de pâquerettes, pourtant, dans cette série. De l’herbe, du trèfle, du bois, des fleurs… tout un monde simple et anodinqui vit sous (ou à) nos pieds.
Il y a des photos qu’on prend sur le vif, dans la nature, sans préparation. Et d’autres qu’on compose à partir d’objets, d’aliments… en cherchant la bonne disposition, le bon angle de vue, le bon cadrage, la bonne lumière. Dans ce deuxième cas, il faut parfois une cinquantaine d’essais pour obtenir LA photo parfaite, celle que l’on veut garder et diffuser.
Voici sept de ces « compositions ». J’ai pris plaisir à les réaliser. Avec beaucoup de patience, de persévérance et une attention toute particulière aux détails. C’est un bon exercice de lâcher-prise.
La photo parfaite n’existe pas, bien sûr. J’aurais pu faire mieux… ou moins bien. En tous cas, chacune a été LA meilleure photo de la séance, ce jour-là.
Café – 8 avril 2020Dernière flambée – 20 avril 2020Bouquet de pissenlits (merci aux poissons pour le bisou improvisé) – 12 avril 2020Balles du chien de l’ancien propriétaire (on en retrouve partout dans le jardin, elles doivent avoir 20 ans, d’où leur état presque « fossilisé ») – 5 mai 2020Haltères… pour un confinement sportif (elles sont à mon fils de 14 ans) – 12 avril 2020Coupe de cheveux – 2 mai 2020
Lundi, je suis enfin retournée chez la coiffeuse. Bien contente d’oublier mon « auto-coupe » du confinement qui ne ressemblait plus à grand chose.
Quality street trop sucrés – 20 mai 2020
Pour connaître la petite histoire de ces caramels (immangeables), rendez-vous sur mon compte Instagram : luninature
En mai, j’ai pris de nombreuses photos au jardin. La nature éclate en couleurs magnifiques. Pour bien voir les photos, je vous conseille de visiter le blog (la mise en page sur le lecteur WordPress n’est pas optimale car le format mosaïque n’apparait pas).
Quelques clochettes de muguet découvertes dans la jungle du jardin – 1er mai (bien sûr !)
Souvenirs de mes nombreuses heures de cuisine pendant le confinement… Pour le plaisir des gourmands, petits et grands.
Ce fut un vrai bonheur de prendre le temps de cuisiner, de varier les plats, de composer avec les ingrédients disponibles
Avec la joie de partager un peu de douceur pendant cette période pas toujours facile. Et le plaisir sans cesse renouvelé de cuisiner pour ceux que j’aime. 💚
Et vous, aimez-vous cuisiner ? Êtes-vous plutôt sucré ou salé ?
Nous avons la chance d’habiter près d’une large rivière, bordée par une voie verte aménagée pour la promenade et le sport (footing, vélo, roller).
Voici mes souvenirs de balade pendant le confinement (6 photos). La voie verte était déserte… ou presque. Nous avons quand même été contrôlés une fois, par des motards bleus. Et stoppés une autre fois par un véhicule de la gendarmerie. Quelqu’un les avait appelés pour signaler la présence une vache « divagante ». Nous leur avons assuré n’avoir croisé aucun bovin échappé d’un pré. Cela semble assez improbable car les pâturages sont en contrebas, le long de la rivière. Cet appel téléphonique était-il un canular ?
Nouveau thème, nouvelle identité visuelle, nouvelles catégories… et un lien vers le compte Instagram sur lequel je publie désormais des photos de mes bulles de vie.
BullesDeVie ? Oui, j’ai décidé d’appeler ainsi ces petits moments de bonheur quotidiens. Je vais les savourer, bien sûr, mais également les immortaliser en prenant des photos, en postant des publications, en écrivant quelques mots…
Mon défi pour avril : #1jour1bulle
Sur Instagram, en avril, je publierai chaque jour la trace d’un petit bonheur qui m’a fait vibrer. Regarder les plantes du jardin, écouter les oiseaux, préparer un goûter gourmand pour la famille, s’amuser ensemble, prendre goût aux petits riens qui font du bien…